La production nationale atteint 1,335 million de tonnes en 2003-2004, avec une part de 1,060 million de tonnes destinées aux exportations durant la même période. Elle oriente l'économie ivoirienne vers l'exportation de produits agricoles non-transformés et l’importation de produits européens manufacturés[10]. Ivoiriens de l'étranger : quelle politique de l’État et quelles contributions de la diaspora au processus de développement de la Côte d'Ivoire ? À la veille de la conquête coloniale, deux systèmes politiques cohabitent sur le territoire de l'actuelle Côte d'Ivoire et influencent fortement l'économie : D'une manière générale, l'économie précoloniale se structure autour de divers espaces relativement homogènes. La Côte d’Ivoire dispose de trois aéroports internationaux, situés à Abidjan, Yamoussoukro et Bouaké, quatorze aéroports régionaux dont les principaux sont ceux de Daloa, Korhogo, Man, Odienné et San-Pédro ainsi que de vingt-sept aérodromes. B. Schnapper, « La fin du régime de l'exclusif : le commerce étranger dans les possessions françaises d'Afrique Tropical (1817-1870)». 2 ... bénéficierait de la poursuite des investissements dans le … Le pays ne dispose plus du PAS avec le FMI, a quelque peu amélioré la situation de ses finances publiques et du secteur bancaire, mais n’est plus en mesure de rembourser sa dette et d'assurer ses dépenses de fonctionnement. Ces espaces économiques connaissent de profondes mutations au cours du XIXe siècle. La part de ce secteur dans le PIB passe en effet de 21 % en 2000 à 12,4 % en 2005[58]. Depuis l'instauration du commerce triangulaire lors des premiers contacts avec les explorateurs européens, l'économie est dominée par l'exportation de produits dits de rente ; en particulier, le café et le cacao, dont la culture a été introduite au début du XXe siècle, ont fortement contribué au « boum ivoirien » des années 1960-1970 (la Côte d'Ivoire est toujours le premier producteur et exportateur mondial de cacao). L'État ivoirien s'évertue à promouvoir, de nouveau, l'image du pays à travers le tourisme et espère engranger des ressources complémentaires grâce à ce secteur. L’État ivoirien joue un rôle important dans l’économie du pays tant au niveau légal (réformes fiscales et budgétaires, renforcement de la réglementation liée aux marchés publics) que par son implication dans le secteur parapublic et privé où sa présence moins importante que dans les décennies passées reste cependant significative. La Côte d'Ivoire réaffirme ainsi sa capacité industrielle et exportatrice, et sa place dans les approvisionnements énergétiques de la région. Elle permet, grâce notamment aux mesures d’accompagnement adoptées par la communauté financière internationale, un taux de croissance positif de 6 % mais seulement pendant deux années consécutives. En dépit de ces évolutions, le taux de chômage reste élevé[76]. Même si la production du pays remonte à un niveau proche de celle des trente premières années de son indépendance, celui-ci n'est plus, en 2007, que quatorzième producteur mondial, concurrencé puis devancé plus récemment (entre 2004 et 2007) par le Pérou, le Costa Rica, le Nicaragua et l'Ouganda. Y. Frémond, La sélection du cocotier à l'IRHO, dans Colloque sur les priorités de la recherche agricole dans le développement économique de l'Afrique. Une performance qui résulte essentiellement du très faible niveau de développement de ce pays d’Afrique de l’Est, qui était le deuxième pays le plus pauvre au monde début 2012 et qui en demeure un des plus pauvres avec un PIB par habitant de seulement 857 dollars, fin 2019. Pierre Du Pray, « Commerce», dans la Côte d'Ivoire de A à Z, s.l., 1970, pp 30-32. Le cacao, qui en est la force (le « miracle économique » des années 1970 a pris appui sur le binôme café-cacao), constitue également son point faible dans la mesure où aucun autre produit ni aucun autre secteur n'influence autant l'économie de la Côte d'Ivoire. Comme pour dire qu'elle est sur la bonne voie pour parvenir à l'émergence telle que l'ambitionne le président de la Républiques Alassane Ouattara, à l'horizon 2020. Au niveau des organisations internationales, la Côte d'Ivoire devrait présenter sa candidature auprès des programmes américains « Africa Growth and Opportunity Act » (AGOA, exénoration de droits de douanes), « Millenium Challenge Corporation » (MCC, aides aux investissements des pays s'engageant sur des réformes économiques et de bonne gouvernance) et européen « Accord de partenariat économique » (APE, échanges commerciaux et investissements). La Côte d’Ivoire est limitée au nord par le Mali et le Burkina, à l’est par le Ghana, à l’ouest par le Liberia et la Guinée et au sud par l’océan Atlantique (golfe de Guinée). En 2003, il s'est situé entre 42 % et 44,2 % contre 38,4 % en 2002. Les industries agroalimentaires, après avoir connu des taux de croissance négatifs de 16,5 % en 2002 et 20,2 % en 2003, enregistrent des taux positifs de 1,6 % et 4,6 % en 2004 et 2005. Mais cette agriculture est elle-même marquée par la domination du binôme « café-cacao » qui représente 40 % des recettes d’exportation et 20 % du PIB et fait vivre 6 millions d’Ivoiriens, avec 600 000 exploitations en activité[22]. L’augmentation en volume de 14 % et la hausse consécutive à la flambée des cours du pétrole sur le marché international ont fait grimper la facture de 76 %. Par ailleurs, le nord et le nord-ouest du pays sont plus pauvres (plus de 60 %) que le littoral et le sud-ouest (moins de 40 %)[82]. Il atteint même 10,2 %, entre 1960 et 1965. La CIE a présenté un plan en 10 points pour s'engager dans la réhabilitation et le développement de son parc et de son réseau électrique. La Côte d’Ivoire est membre de l'Union économique et monétaire ouest-africaine, dont la monnaie, le franc CFA, est arrimée par un régime de change fixe à l’euro (la parité de change est de 1 euro = 655,957 FCFA). Cette ligne de chemin de fer, exploitée par Sitarail, joue un rôle important dans le transport des marchandises (bétail notamment) et des personnes entre la Côte d’Ivoire et les pays limitrophes : 1 million de tonnes de marchandises ont ainsi été convoyées en 2006. Accueil; Monde; En Côte d’Ivoire, la croissance ne profite pas à tous. Note sur la situation économique en Côte d’Ivoire 2017-2018 . Une population jeune Elle est axée sur l’agriculture vivrière et utilise des techniques de cultures itinérantes sur brûlis. L'objectif du nouveau gouvernement est de rejoindre le groupe des pays émergents à l'horizon 2020. Le commerce des produits naturels remplace alors celui des esclaves et l’agriculture est de nouveau dynamisée. L'enseignement supérieur ivoirien forme des diplômés qui ne trouvent pas forcément du travail et de nombreuses entreprises ont fermé ou délocalisé leurs activités, notamment dans le domaine de l’industrie touristique, du transit et de la banque depuis déjà presque une décennie. D’une superficie de 322 460 km², elle est limitée au sud par le golfe de Guinée sur une côte de 550 km, à l’ouest par la Guinée et le Libéria, au nord par le Burkina Faso et Par ailleurs, avec l’intensification des troubles politiques à la fin 2004, le secteur secondaire a, dans son ensemble, payé un lourd tribut à la crise[22]. Cependant, à travers la société d’État Petroci (Société nationale d’opérations pétrolières de la Côte d’Ivoire), l’État ivoirien demeure propriétaire des gisements découverts et prend des participations au sein de divers groupes. Dans ce contexte, des mesures spécifiques d’allègement fiscal et d’assainissement des états financiers des entreprises ont été prises. Le port autonome de San-Pédro, lui, dispose de cinq quais de 1 202 m de long, dont 155 m de quai sud et 581 m de quai ouest avec, à l’arrière, trois magasins-cales de 13 800 m2 qui lui permettent d’affirmer sa vocation industrielle[47]. La gestion de la production et de la distribution de l’électricité relevait au départ de la structure d'État Énergie électrique de Côte d’Ivoire (EECI). Aussi, pour mieux bénéficier des gains de valeur ajoutée liés à la transformation du pétrole brut, l'État ivoirien importa, à partir de 1965, des quantités de plus en plus importantes d’hydrocarbures, traités intégralement par la Société ivoirienne de raffinage (SIR) créée en octobre 1962 et ayant une capacité de raffinage de 3 500 000 tonnes par an, soit 70 000 barils par jour[37]. Cette entreprise réalise en fin d’exercice 2004, un chiffre d’affaires de 121,4 milliards de francs CFA. De même une exonération d’impôt sur les bénéfices pendant trois ans pour les entreprises en difficultés…)[68] a été accordé. Ce changement de parité du franc CFA par rapport au franc français s'inscrit dans une stratégie plus globale visant, par une série de réformes structurelles, à recentrer l'action de l'État ivoirien sur des missions de régulation, de contrôle et de sécurisation[N 6] pour améliorer les performances du secteur public et favoriser les activités du secteur privé[19].Les programmes d’ajustement structurel (facilité d'ajustement structurel renforcé 1994-1996), mis en place dans cette perspective, par des partenaires extérieurs comme le Fonds monétaire international et la Banque mondiale, conduisent à l'adoption par le gouvernement de mesures drastiques de restriction budgétaire en vue du redressement économique[20], sans grand succès[21]. Le secteur parapublic, connait depuis le début des années 1990, une évolution notable. Par exemple, dans le domaine de la santé, le taux d'accès aux services, a indiqué Kaba Nialé, est passé de 44% au début de la décennie à 69% à ce jour. Bien que l'économie du pays repose encore en grande partie sur les investissements français, ceux-ci sont cependant, d'un niveau relativement moyen : 3,5 milliards d'euros. L’investissement privé a stagné en 2004 par rapport à 2003, et s’est contracté en 2005[22]. Note d'orientation sur l'implantation d'un ranch d'élevage privé, Ministère du plan multigr., 1968 12 p. B. Roux, Élevage et développement de l'agriculture dans la région centre Autorité pour l'aménagement de la vallée du Bandama, Abidjan 1975, 56 p. CIRES, « Quelques aspects économiques de élevage bovin en côte d'Ivoire Côte d'Ivoire, production et commercialisation ». Les deux tiers environ de la dette bilatérale concernaient les membres du Club de Paris, et le solde relevait des banques commerciales regroupées dans le Club de Londres. L'ensemble de ces entreprises contribue à réduire le taux de chômage du pays. Ce sombre tableau s’explique d’une part, par des problèmes structurels et, d’autre part, par une mauvaise conjoncture liée à la crise politique. Ainsi le secteur ivoirien de l’électricité a commencé à importer de l’énergie du Ghana pour environ 25 MW et ceci, en application du contrat d’échanges d’énergie qui existe entre les deux pays. La maîtrise de la production cacaoyère face à la crise a constitué un avantage considérable dans la structure de la balance commerciale. (Etude effectuée à la Station IRHO de Port-Bouët), Cr.,tome 2, Abidjan, 5-12 avril 1968, pp. Les industries chimiques connaissent une hausse de 8,3 et 8,4 % en 2004 et 2005, tandis que les matériaux de construction augmentent de 25,7 et 26 % en 2004 et 2005, malgré la crise qui affecte le pays[57]. Note sur la situation économique en Côte d’Ivoire 2017-2018 . Les courtiers africains se retrouvent peu à peu face à l'impérialisme économique français auquel ils tentent de s'opposer, mais ils seront progressivement éliminés. « Le commerce extérieur de la Côte d'Ivoire». Le service postal qui existe en Côte d'Ivoire depuis le XIXe siècle, est en 2008, après plusieurs mutations, animé par une société d'État, la Poste de Côte d'Ivoire. Les plantations de cacao et café âgées tendent à ne plus être renouvelées à cause de la pression des maladies et de l'épuisement des sols, et sont graduellement remplacée par l'hévéa. Pour des raisons liées à la baisse de la consommation intérieure et aux difficultés de transport pour l’exportation, le secteur industriel connaît à nouveau des difficultés en 2006. Il est accompagné d'un rééchelonnement de la dette extérieure ivoirienne à hauteur de 275 millions de dollars sur une période de neuf ans avec quatre ans de différé. Occupant en 2007, 66 % de la population active et contribuant à hauteur de 70 % aux recettes d'exportation, l’agriculture affirme sa primauté dans l’activité économique de la Côte d'Ivoire[22],[52]. Le prix d’achat du cacao au producteur a chuté de 688 francs CFA en 2002-2003 à 207 francs CFA le kg en 2003-2004, du fait de la baisse des cours mondiaux et de la spéculation pratiquée par les acheteurs-exportateurs. Confortée par cette réunification du pays d'une part, la réhabilitation des infrastructures publiques en cours ainsi que le retour progressif de la confiance du secteur privé d'autre part, l'économie ivoirienne enregistre depuis 2007, une légère reprise ; mais la situation reste encore globalement fragile[22]. 2005 a enregistré une légère baisse des exportations, passant de 43,3 % en 2004 à 41,6 %. Le changement climatique, la perte de biodiversité et l’épuisement de multiples ressources naturelles (comme l’eau ou la forêt) sont les trois grands défis environnementaux que l’on rencontre aujourd’hui non seulement au niveau mondial mais aussi dans notre pays la Côte d’ivoire. L’UE-25 représente 42 % des approvisionnements de la Côte d’Ivoire. Les principaux clients des produits raffinés ivoiriens sont le Nigeria et les États-Unis. L'extraction de diamant en Côte d’Ivoire débute en 1948 par le gisement de Tortiya étendu sur 188 ha avec une réserve estimée à 830 000 carats. D'ici 2015, la société « Abidjan Terminal » mettra en œuvre six nouveaux portiques de parc et 4 nouveaux portiques de quai. En 2004 la production totale de la pêche en Côte d’Ivoire est évaluée à 54 397,811 tonnes de produits de pêche dont 19 379 pour la pêche industrielle et 35 018,811 pour la pêche artisanale, traditionnellement pratiquée par les populations vivant sur la côte maritime et autour des lagunes. La libéralisation du secteur a fait naître différentes structures dont la gestion est controversée : le Fonds de régulation et de contrôle café-cacao (FRCC), la Bourse du café et du cacao (BCC), l'Autorité de régulation du café et du cacao (ARCC) et le Fonds de développement et de promotion des activités des producteurs de café et de cacao (FDPCC). Malgré sept années de fort ralentissement, le pays dispose toujours d'un des réseaux bancaires les plus développés de l'Afrique de l'Ouest comptant en 2007, 19 établissements financiers dont 17 banques et deux établissements de crédit. Le commerce extérieur de la Côte d'Ivoire en 1964». En 2003 déjà, une loi[66] transfère la promotion du tourisme aux collectivités décentralisées dans l'optique de démultiplier les centres d'attraction du secteur. B. GUEU LIENS PROMOTIONNELS Enfin, la Côte-d’Ivoire, « qui constitue un modèle de développement sans ressources minières », se tourne à nouveau vers les ressources de son sous-sol. Sur le plan opérationnel, cette réforme s’accompagne du Système de gestion intégré des finances publiques (SIGFIP). La production aquacole représente 866,05 tonnes pour la même période, dont 331,35 pour les produits d’origine lagunaire et 534,7 pour ceux d’origine continentale. Une réglementation spécifique est fixée au cours des années 1970[63],[64],[65] et, dans cette logique de promotion, divers organes ou sociétés sont créés : La Société ivoirienne d’expansion touristique et hôtelière (SIETHO) ; Ivory coast tourism agency (ICTA), grossiste local et correspondant de nombreux voyagistes étrangers ; l'Office national de l’artisanat d’art (ONAA) ; l'Office ivoirien du tourisme et de l’hôtellerie (OITH) ; ou encore, Côte d’Ivoire Tourisme. La Côte d'Ivoire possède de plus quelques réserves de pétrole non négligeables pour son économie. Décryptage. Mais elle offre surtout aux investisseurs l'avantage d'être un pôle économique qui ouvre sur tous les marchés de la sous-région. Cette progression a ainsi permis à la Côte d'Ivoire de devenir le pays le plus riche de toute l'Afrique de l'Ouest, avec un PIB par habitant de 2 286 dollars fin 2019, devant deux pays particulièrement riches en richesses naturelles que sont le Nigeria (pétrole) et le Ghana (pétrole et or). La Côte dIvoire sest fixé lobjectif ambitieux de compter parmi les pays ayant atteint lémergence à lhorizon 2020. L'arrêt de la déportation massive d'esclaves entraîne le développement d'une traite intérieure. Le prix moyen d'achat bord champ reste assez faible (355 francs CFA le kg au cours de la campagne 2003-2004) autant que la proportion de café transformée par l’agro-industrie locale qui est passée de 3,6 % en 2001-2002, à 2 % de la production totale en 2003-2004. La Côte d'Ivoire reste donc pays à économie sous-développée. Avec un certain gel de la crise intérieure, la Côte d'Ivoire entreprend son redressement en obtenant en 2004 un taux d’inflation sous contrôle (entre 1,4 % et 4,4 %) et des taux de croissance positifs (+1,6 %) en 2004, +1,8 % en 2005[23] et +1,2 % en 2006) qui demeurent toutefois en dessous du niveau d'accroissement naturel de la population, estimé à 3,3 %. Malgré les efforts entrepris par l’Institut de recherche des énergies nouvelles (IREN), l’énergie solaire, pour lequel des potentialités importantes ont été relevées, reste encore très peu développée en Côte d’Ivoire[42]. Il s'agit d'une approche totalement informatisée ayant vocation à améliorer la préparation du budget de l'État, à réduire les délais d’exécution des finances publiques ainsi qu'à renforcer la sécurité de la dépense publique en améliorant la transparence des transactions et la communication directe des différents acteurs. Le solde de la balance des paiements dégage des excédents (5,2 % du PIB en 1984 et 4,8 % du PIB en 1985). D'une manière générale, l'économie précoloniale s'ajuste aux nouvelles exigences du XIXe siècle dont celles de la colonisation du pays qui porte déjà les germes de la désorganisation de l’agriculture traditionnelle et de l’émergence de nouveaux partenaires commerciaux. Le budget général de fonctionnement de l’État connait alors une réduction de près de 55 % durant les trois années du programme tandis que le budget spécial d'investissement et d'équipement (BSIE) est réduit de 12 %. L’on assiste dans la même période à un accroissement de la masse monétaire qui n’est toutefois pas le fruit de la politique monétaire mais plutôt celui d'un solde de balance des paiements favorable[N 3],[14] D’une manière générale, la croissance économique du pays, en termes réels, d'environ 5 % marque une légère reprise. Elle entend ainsi diversifier les partenaires, tout en continuant à s’appuyer sur son partenaire traditionnel, la France classé en 2016 au second rang des investissements étrangers en Côte d'Ivoire avec 16%[71]. Le royaume du Maroc est, avec 22 % soit 147 milliards de francs cfa (environ 2,4 milliards de dirhams), désormais le principal investisseur en Côte d'Ivoire. La CEDEAO, pour sa part, a constitué 25 % des échanges cumulés, soit 1 308 milliards de francs CFA, avec une balance commerciale excédentaire pour la Côte d'Ivoire de 236 milliards de francs CFA. Le rapport souligne toutefois que le pays doit veiller à consolider les bases de son développement durable pour … L’exploitation de ce gisement est confiée à la Société anonyme de recherches minières en Côte d’Ivoire (Saremci) qui, dès la première année obtient une production de 36 000 carats et voit sa production augmenter régulièrement pour atteindre son point culminant en 1972 avec 260 000 carats. La Côte d’Ivoire occupe, à l’échelle mondiale, la place de premier producteur de cacao (1,404 million de tonnes, campagne 2003-2004) ; elle est troisième en ce qui concerne la noix de coco ; par contre la culture du café a largement périclité (154 000 t, campagne 2003-2004) et le pays n'est plus que 14e producteur mondial, très loin derrière le Brésil et le Vietnam. La Côte d'Ivoire produit des graines de palme 1,564 million t., de la canne à sucre 1,430 million de t., des noix de kola 65 216 t., des noix de cajou 167 000 t., des mangues 120 902 t. mangues[53]. La Côte d’Ivoire met également en valeur ses atouts pour le développement de la pêche, notamment sa façade côtière sur le golfe de Guinée. Ainsi, un programme de délestage temporaire est mis en place, prenant en compte les priorités suivantes : Mais on constate que cette crise énergétique gangrène l'économie nationale en provoquant l'arrêt des machines dans l'outil de travail industriel, obligeant les entreprises à mettre en place des programmes de chômage structurels et investir davantage dans l'achat de groupes électrogènes. Elle est en majeure partie assurée à partir des barrages hydroélectriques d’Ayamé 1, Ayamé 2, Kossou, Taabo, Buyo et Fayé. La dévaluation a permis notamment de favoriser les cultures locales au détriment des importations. Le solde global de la balance des paiements est estimé à -0,8% du PIB. L’évolution de l’emploi est influencée par la croissance économique, (création d'emplois au-dessus d'un taux de croissance de 1,5 %), et par une crise politico-militaire. Il favorise en outre, au sein des colonies, l'instauration et la multiplication de rapports de production de type esclavagiste. Les importations d’automobiles ont connu, en valeur, une hausse de 65 % environ. La production industrielle connaît un accroissement de 7 %. Sa gestion est devenue privée, après la signature d’un contrat avec Aeria, société créée en association avec la Chambre de commerce de Marseille[22]. Centre de Rech. Il mise sur divers atouts naturels : 520 km de côtes bordant l'océan Atlantique et disposant de grandes étendues de plage ; îles près de la région des lagunes ; plusieurs parcs nationaux qui couvrent une superficie de plus de 1 730 550 ha et abritent des espèces animales rares ou en voie de disparition ; réserves offrant une large variété de faune et flore ; mais aussi, forêts classées.

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