Avec l’aide de nouvelle technologie, la couverture de la guerre a changé, les médias ont eu accès à des innovations militaires, telles que des images obtenues à partir d’armes équipées de caméras[33]. Les exilés de la famille royale du Koweït lancent une campagne internationale afin de persuader les autres pays à mettre la pression sur l'Irak. Aux premiers jours du bombardement, les correspondants de CNN et leurs équipes ont été capables de réaliser un reportage radio en direct depuis une de leurs chambres à l'hôtel Rachid. Au cours de l’été 1990, les finances de l'État sont au bord de la banqueroute. L'offensive est une grande surprise pour les forces koweïtiennes qui avaient réduit leur niveau d'alerte. Cette invasion, élément déclencheur de la guerre du Golfe, conduit ainsi directement à l'intervention militaire des États-Unis contre l'Irak en janvier 1991. De plus l'Union soviétique, et par ricochet, les États-Unis, membres du Conseil permanent de l'ONU, cessent d'user de leur veto. Sa prospérité a stimulé l'envie de Saddam Hussein de retrouver son hégémonie sur ce territoire, hégémonie donnée par les Ottomans. Le 15 mars 1991, l'émir du Koweït, Jaber al-Ahmad al-Sabah, rentre au pays après avoir passé plus de 8 mois en exil[17]. 'Afghanistan, le renversement manu militari de Saddam Hussein, !es Printemps arabes, !es noyades de migrants, !es crises flnan­ Ses opposants, aujourd'hui au pouvoir à Bagdad, ont retissé les liens avec ce voisin stratégique. Aucun bilan global n'est également donné par le gouvernement irakien[1],[5]. Elle résulte en une occupation irakienne du Koweït pendant 7 mois, avant que le pays ne soit libéré par les forces de la Coalition. De même, ils redoutent peu l'arrivée d'un régime islamiste hostile aux Occidentaux, de par la faible influence de l'Iran et les bonnes relations en façade entre la république islamique du Pakistan et les États-Unis. Concernant les pertes matérielles irakiennes, la DIA donne le bilan suivant en juin 1992[1] : Un autre bilan donne 139 avions (plus 114 réfugiés en Iran), huit hélicoptères, 74 bateaux, 2 089 chars, 856 véhicules de transport, 2 140 pièces d'artillerie. Malgré la brièveté de la guerre, les communications de l'administration américaines pendant la guerre du Golfe ont été importantes. Elle résulte en une occupation irakienne du Koweït pendant 7 mois, avant que le pays ne soit libéré par les forces de la Coalition. Historiquement, le parti Baas et les nationalistes irakiens n'avaient jamais accepté les accords Sykes-Picot de 1915-1916, où les Britanniques et les Français se partageaient le Moyen-Orient alors sous contrôle de l’Empire Ottoman en zones d'influences. En 1990, les ressources financières du royaume étaient supérieures aux ressources du pétrole. En 1990, l'Irak accuse officiellement le Koweït d'avoir volé du pétrole irakien par forage oblique, bien que certaines sources irakiennes indiquent que la décision de Saddam Hussein d'attaquer le Koweït avait été mise au point de nombreux mois avant l'invasion[4]. Emotional Emir Returns to Kuwait : Royalty: He covers his face and stoops to kiss the ground. Articles détaillés : Invasion du Koweït et Guerre du Golfe. Elle a eu lieu à un moment où les progrès technologiques de la télévision la mettaient en mesure de présenter instantanément et en direct, des images de n’importe où dans le monde. Envoy, The Iraqi Invasion; In Two Arab Capitals, Gunfire and Fear, Victory and Cheers, http://www.globalsecurity.org/military/world/iraq/overview.htm, http://www.southasiaanalysis.org/papers7/paper615.html, http://www.globalsecurity.org/wmd/library/news/iraq/1990/900816-151051.htm, STANDOFF IN THE GULF; A PARTIAL PULLOUT BY IRAQ IS FEARED AS DEADLINE 'PLOY'. Il y a 30 ans, l’invasion éclair du Koweït par l’Irak Le 2 août 1990, l'armée de Saddam Hussein déferle sur l'émirat et annexe ce petit territoire riche en pétrole. La couverture médiatique de la guerre du Golfe a été très importante. La dernière modification de cette page a été faite le 9 janvier 2021 à 11:40. En 1998, Libération indique qu'il est « impossible d'avancer des statistiques sérieuses sur les pertes irakiennes. Le nombre de soldats irakiens faits prisonniers est officiellement de 86 743 selon la coalition[1]. La Chine, autre pays communiste majeur, plutôt préoccupée par son développement et sa croissance, sera plus inquiète de son approvisionnement en hydrocarbures, et préoccupée par d'éventuels troubles qui perturberaient le golfe Persique, et donc, ses fournitures en pétrole, et ne pose pas de veto à l'ONU, tout en suivant l'évolution de la situation. Des soldats saoudiens au Koweït, prenant par à l'assaut de la coalition contre l'Irak, lors du deuxième jour de la guerre du Golfe, le 25 février 1991. Les rédacteurs en chef de la presse écrite et de la télévision ont collaboré pour effectuer la rédaction d'une lettre au président George W. Bush faisant part de leurs préoccupations concernant les restrictions imposées, particulièrement en Arabie saoudite. L'objectif était de débarrasser le Koweit occupé par Garde républicaine irakienne, dirigé par le dictateur Saddam Hussein. La volonté pour les anciens États satellites de l'URSS de démontrer leur aptitude à intervenir sans Moscou est également un facteur d'intervention. Sans de telles ressources naturelles, l'existence de cet État n'aurait pas de sens et les Britanniques ne l'auraient pas créé. La position initiale américaine sur le conflit, Condamnations par la Communauté internationale, L'intervention des forces de la Coalition, Saddam Hussein espérait ainsi donner l'occasion aux conservateurs communistes russes de reprendre la situation en main, face aux libéraux incarnés par. Articles détaillés : Invasion du Koweït et Guerre du Golfe. Cela faisait plus de 23 ans et la guerre des Six Jours qu'aucune annexion ne s'était produite. En août 2019, 369 personnes sont toujours portées disparues[19]. Propagande et désinformation font varier les estimations de 4 000 à 400 000 morts », Selon le ministère des Affaires étrangères israélien, deux personnes ont été tuées par des frappes de missiles, quatre ont souffert de crises cardiaques pendant les tirs, et sept personnes sont mortes en raison de l’utilisation incorrecte des kits conçus pour se protéger en cas de guerre atomique, biologique ou chimique. Après une série de négociations infructueuses entre les grandes puissances mondiales et l'Irak, les États-Unis déclarent la guerre à l'Irak à la mi-janvier 1991. Les habitants du Koweït ne se sont jamais bien entendus avec les Irakiens qui les ont toujours méprisés. Les pertes économiques, les dépenses militaires et les conséquences écologiques de ce conflit relativement court mais de haute intensité sont énormes. 100 000 civils ont pu ainsi être touchés indirectement, tandis que le taux de mortalité infantile aurait doublé[23]. Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, sanctions économiques immédiates contre l'Irak, Chronologie de la guerre du Golfe (1990-1991), Corps expéditionnaire égyptien durant la deuxième guerre du Golfe, résolution du Conseil de sécurité des Nations unies, Ports du Koweït#Sabotages durant la guerre du Golfe de 1991. Sept ans après, le vrai bilan de l'opération Desert Storm. 'inva­ sion americaine de ! L’ invasion du Koweït, également connue sous le nom de guerre Irak-Koweït, est un conflit majeur entre l' Irak de Saddam Hussein et le Koweït, du 2 au 4 août 1990. En 1991, entre 4 000 et 400 000 morts irakiens, selon les estimations les plus extrêmes. Selon ce rapport, le taux de mortalité à l'accouchement est passé de 50 pour 100 000 en 1989 à 117 en 1997, tandis que le taux de mortalité infantile (compris pour inclure les enfants de moins de 5 ans), est passé pendant la même période de 30 pour 1 000 à plus de 97 pour 1 000[29]; entre 1990 et 1994, il avait été multiplié par 6[27]. Des traces de fumée furent retrouvées sur l'Himalaya. Au cours de l’été 1990, les finances de l'État sont au bord de la banqueroute. Pendant les sept mois d'occupation irakienne au long, les forces de Saddam Hussein ont pillé les richesses immenses du Koweït ; on a dénombré également des violations massives des droits de l'homme. L'opération Daguet (Guerre du Golfe / Irak-Koweït, 1990-1991) et le tournant de l'après-guerre froide La difficulté essentielle tient à la distinction entre les morts indirectes causées par les bombardements et celles causées par les sanctions, qui ont empêché la reconstruction du pays[27]. Au total, dans toute l'opération Tempête du Désert, les pertes de la coalition sont de 240 morts et 776 blessés, qu'il convient d'additionner avec les 138 soldats tués et 2 978 blessés hors combat, dans divers accidents, depuis Bouclier du Désert ; 41 militaires alliés étaient par ailleurs prisonniers des Irakiens. 29 novembre. Les conditions météorologiques furent modifiées jusqu'à 500 km à la ronde. Même les pays traditionnellement considérés comme de proches alliés de l'Irak, comme la France et l'Inde, ont appelé à un retrait immédiat de toutes les forces irakiennes du Koweït[11],[12]. Les 150 000 soldats américains et britanniques prennent Bassorah le 7 avril, Bagdad le 9 avril, Mossoul le 10 avril, Kirkouk le 11 avril et Tikrit le 14 avril. Le dernier puits fut éteint le 6 novembre 1991. Son demi-frère, le cheikh Fahad Al-Ahmed Al-Jaber Al-Sabah sera tué par les forces irakiennes. Le prix du pétrole, en 1990, était pour beaucoup dans la décision de l'Irak d'envahir le Koweït et dans celle des Etats-Unis de riposter par la guerre du Golfe. Perry M. Smith, « How CNN fought the war: A view from the inside », 1991, New York, Birch Lane Press. Début de l’opération « Tempête du désert ». Il est, par la suite, devenu connu pour les polémiques sur ses reportages[34]. L ' Invasion du Koweït ou Irak-Koweït Guerre (Exprimés en arabe: غزو ​​العراق للكويت) La guerre était menée par ' Irak d'envahir la Koweit. En 2001, le capitaine français Ludovic Monnerat donne un bilan bien plus faible pour les pertes irakiennes : 3 000 à 5 000 morts, 8 000 à 15 000 blessés, 86 000 prisonniers dont 2 500 blessés[20]. La guerre du Golfe est un conflit qui oppose, du 2 août 1990 au 28 février 1991, l'Irak à une coalition de 35 États, dirigée par les États-Unis à la suite de l'invasion et l'annexion du Koweït par l'Irak. 81 aéronefs (dont 48 américains, sept britanniques et trois saoudiens) sont détruits[24]. Les journalistes chanceux ont dû être accompagnés par des soldats, officiellement pour des raisons de sécurité. Salamon R (2004) [Rhttps://hal-lara.archives-ouvertes.fr/hal-01571608/document Rapport de l'enquête française sur la guerre du Golfe et ses conséquences sur la santé ; Répondant à la lettre de mission du 6 juin 2001 adressée par le cabinet du Ministre du Ministère de la Défense] ; [Rapport de recherche INSERM], 286 p., bibliographie p. 276 et 277, tableaux, graphiques. Après plusieurs heures de combats, le Koweït tombe dans les mains de l'armée irakienne, qui parvient à capturer la résidence de l'émir Jaber al-Ahmad al-Sabah, le palais Dasman, protégé par la Garde nationale koweïtienne et la police locale. Douglas Kellner (en), professeur à Columbia, affirma en 1992 qu’à cause des médias, la guerre avait été perçue comme un récit passionnant. Le 2 août, le Conseil de sécurité de l’ONU exige le retrait immédiat du Koweït par la résolution 660 ; le 3 août, la Ligue des Etats arabes condamne l’invasion irakienne ; le 6 août, la nouvelle résolution 661 de l’ONU décide du boycott général … Une des particularités de la guerre est le nombre important de pays (34) y ayant participé, qui plus est, tous à l'encontre du camp irakien. Invasion du Koweït conduira à guerre du Golfe en 1991. En plus des destructions dues à tout conflit militaire et de l'impact sanitaire de l'uranium appauvri, il y eut un désastre écologique régional dû à l'incendie de 732 puits de pétroles koweïtiens par les forces irakiennes qui voulaient ainsi obscurcir le ciel dans l'idée de gêner l'activité aérienne de la Coalition et de nuire à l'économie mondiale, environ 20 millions de tonnes de pétrole furent déversées dans le sol. C’était la première fois, dans le cadre d’un événement tel qu’une guerre, que des journalistes devaient être escortés pas des responsables militaires[35]. Les pays membres de l'OTAN ont également été très critiques face à l'invasion et les États-Unis lancent un ultimatum à l'Irak, l'appelant à retirer ses troupes du Koweït d'ici le 15 janvier 1991 ou de faire face à une guerre[13]. Sur le quart sud du Koweït, une fumée noire s'éleva à 600 mètres du sol. Le but de cette censure était d'éviter d’affecter les opinions publiques arabes et de révolter les opinions publiques occidentales, au nom d'une injustice flagrante[35]. L’invasion du Koweït, également connue sous le nom de guerre Irak-Koweït, est un conflit majeur entre l'Irak de Saddam Hussein et le Koweït, du 2 au 4 août 1990.Elle résulte en une occupation irakienne du Koweït pendant 7 mois, avant que le pays ne soit libéré par les forces de la Coalition. L'argu.men t historique Saddam Hussein et ses proc… Les dernières poches de résistance tomberont le 4 août. J. P. Stucker, J. F. Schank, B. Dombey-Moore. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. C'est alors que le Koweit augmente unilatéralement sa production de 20% en rompant la solidarité entre les pays exportateurs de pétrole. Que les lecteurs . bien pensants » ne crient pas au scandale. Cette guerre, dite guerre du Golfe parce qu'elle se déroule sur les bords du golfe Persique, trouve son origine dans la précédente g uerre engagée par l'Irak contre l'Iran. La guerre du Golfe fut également l'occasion de critiques sur l'influence des médias dans la perception de la guerre. L’invasion du Koweït, également connue sous le nom de guerre Irak-Koweït, est un conflit majeur entre l'Irak de Saddam Hussein et le Koweït, du 2 au 4 août 1990. La guerre du Golfe de 1990-1991 ou guerre du Koweït, est un conflit qui opposa l'Irak de Saddam Hussein à une coalition de 34 États, soutenue par l'Organisation des Nations unies entre 1990 et 1991.La victoire prévisible de la coalition entraîna la libération du Koweït dont l'invasion en 1990 par l'armée irakienne avait provoqué le déclenchement du conflit. De nombreuses nations rejoignent la coalition, y compris la France, ce qui en fait la plus grande alliance militaire depuis la Seconde Guerre mondiale. L'occupation du Koweït a été unanimement condamnée par toutes les grandes puissances mondiales. intéresserons à la première, opposant l’Irak et le Koweït entre 1990 et 1991. La guerre du Golfe de 1990-1991 ou guerre du Koweït, est un conflit qui opposa l'Irak de Saddam Hussein à une coalition de 34 États, soutenue par l'Organisation des Nations unies entre 1990 et 1991. L'objectif était de débarrasser le Koweit occupé par Garde républicaine irakienne, dirigé par le dictateur Saddam Hussein. En 1992, les universitaires américains Robert W. Tucker (en) et David C. Hendrickson donnent les bilans suivants, donnés par différentes sources[1] : En 2002, l'universitaire américain Stephen Alan Bourque chiffre les pertes irakiennes entre 25 000 et 50 000 tués, 80 000 prisonniers, 3 300 chars, 2 100 véhicules blindés de transport de troupes et 2 200 pièces d'artillerie[4]. Le début de la chute, qui s’est terminée en 2003 avec son éviction. Il soutint également qu’au-delà de la guerre, il y avait un déséquilibre dans le traitement de l'information par les grandes chaînes de télévision et les autres médias[36]. Laffaire des couveuses au Koweït désigne le scandale du faux témoignage fait le 14 octobre 1990, lors de l'invasion du Koweït par les forces armées irakiennes de Saddam Hussein, qui alléguait d'atrocités commises contre des nouveau-nés koweïtiens. "Kuwaitis Mourn the Missing in Iraq." L'Organisation mondiale de la santé (OMS) n'enregistre aucun cas de choléra en 1990, plus de 1 200 en 1991 et plus de 1 300 en 1994[27]. Il y a 30 ans, Saddam Hussein proclamait le Koweït "19e province" de l'Irak. Lorsqu'on y a découvert du pétrole, les Koweïtiens, qui avaient l'habitude de la pauvreté, ont géré avec parcimonie leur ressource en investissant et diversifiant dans le monde entier. Ce dernier s'était déjà enfui dans le désert saoudien dès le début de l'invasion. Historiquement, il était une région de la Mésopotamie (l'Irak actuel) et son existence n'était due qu'à ses fortes réserves en hydrocarbures. Des soldats saoudiens au Koweït, prenant par à l'assaut de la coalition contre l'Irak, lors du deuxième jour de la guerre du Golfe, le 25 février 1991. Quelle guerre culturelle ? Endless torment : The 1991 Uprising in Iraq And Its Aftermath, « Bombing Dual-Use Targets: Legal, Ethical, and Doctrinal Perspectives », Rapport d'information déposé en application de l'article 145 du Règlement par la commission de la Défense nationale et des forces armées en conclusion des travaux d'une mission d'information (sur les conditions d'engagement des militaires français ayant pu les exposer, au cours de la guerre du Golfe et des opérations conduites ultérieurement dans les Balkans, à des risques sanitaires spécifiques, « Dédommagement des 92 « Diambars » décédés pendant l'opération, Activité du Special Air Service durant la guerre du Golfe, Intervention alliée pendant la guerre civile russe, Coalition internationale en Irak et en Syrie, Opérations aériennes de la coalition internationale en Syrie, Interventions militaires des États-Unis dans le monde, List of the lengths of American participation in major wars, Acquisitions territoriales des États-Unis, Covert United States foreign regime change actions, Pertes humaines américaines lors des guerres impliquant les États-Unis, Géopolitique en mer Méditerranée orientale, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Guerre_du_Golfe&oldid=178592147, Article manquant de références depuis août 2017, Article manquant de références/Liste complète, Page géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Conflit militaire géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Article contenant un appel à traduction en anglais, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, Portail:Forces armées des États-Unis/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, les préparatifs militaires alliés au cours de l'automne, sabotage des puits de pétrole par les soldats irakiens (25-, 100 000 morts dans les bombardements précédant l'offensive terrestre selon une source non officielle du, 100 000 soldats tués (avec une marge d'erreur possible de 50 %) et 300 000 blessés selon une source de la, Entre 25 000 et 150 000 morts d'après d'« autres observateurs », Moins de 5 000 civils tués dans les bombardements, 2 140 pièces d'artillerie détruites sur 3 110, 1 856 blindés légers transporteurs de troupes détruits sur 2 870. la libération du Koweït a été la bataille terrestre menée par la Coalition entre le 24 et le 28 Février 1991 au cours de la guerre du Golfe, est entré en action 39 jours après le début de 'Opération Tempête du Désert. Avant la guerre, en 1990, l'Irak produisait environ 8 900 millions de watts; en 1999, ce chiffre avait été réduit à 3 500[27]. Des commandos irakiens déployés par hélicoptères Mil Mi-8 et Mil Mi-17 ainsi que par bateaux attaquent la capitale Koweït, tandis que les autres divisions sécurisent les aéroports et les bases aériennes soutenus par des hélicoptères de combat Mil Mi-24. Le sort de 605 Koweïtiens arrêtés pendant l'occupation est resté inconnu jusqu'en 2009, date à laquelle les restes de 236 d'entre eux ont été identifiés en Irak. 1,88 milliard de gallons d'essence ont été consommés sous la juridiction du U.S. Central Command durant les opérations Desert Shield et Desert Storm entre le 10 août 1990 et le 31 mai 1991. Ayant une dette de 80 milliards de dollars US (contractée pour se fournir en armements pour la guerre Iran-Irak), l'Irak exige du Koweït l'annulation d'une créance de 10 milliards de dollars US. Le conflit débute le 2 août 1990 à 2h00 du matin[7], les divisions de la Garde républicaine irakienne et les forces spéciales de l'armée irakienne sont les premières à entrer sur le sol koweïtien. [14]. Propagande et désinformation font varier les estimations de 4 000 à 400 000 morts »[5]. De toutes les autres chaînes, CNN était la seule capable de réaliser cela, ce qui fut un gros succès pour elle. Saddam Hussein comptait aussi sur l'aide de l'URSS, alors moribonde (l'URSS prendra fin officiellement en décembre 1991), en la motivant idéologiquement contre son adversaire américain de la Guerre froide, et en espérant la lancer dans le conflit. Le 30 juillet, une réunion de médiation est organisée à Djeddah ; elle échoue[15]. Les hostilités ont continué jusqu'à la fin février 1991, date à laquelle le Koweït sera libéré[16]. Très pauvres et dépourvus de ressources, ils devaient aller acheter leur eau en Irak qui la leur vendait cher, avec des bateaux de leur fabrication et qui faisaient leur réputation. 1990-1991 : la guerre Irak-Koweït, guerre du Golfe. Irak; Guerre du Golfe : 30 ans après, le récit d’un conflit historique. Le Koweït et l'Arabie saoudite paient environ 32 milliards de dollars sur les 60 milliards que coûte le conflit. Cette même année, les Iraniens lancent la guerre des pétroliers et arraisonnent plusieurs tankers koweïtiens, le Koweït ayant apporté son soutien à l’Irak dans cette guerre contre l’Iran. L’invasion du Koweït, également connue sous le nom de guerre Irak-Koweït, est un conflit majeur entre l'Irak de Saddam Hussein et le Koweït, du 2 au 4 août 1990. Elle résulte en une occupation irakienne du Koweït pendant 7 mois, avant que le pays ne soit libéré par les forces de la Coalition. 1991. http://news.bbc.co.uk/2/hi/middle_east/8048477.stm, L'invasion du Koweït par l'Irak, 2 août 1990, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Invasion_du_Koweït&oldid=175516419, Page géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Conflit militaire géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Article contenant un appel à traduction en anglais, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. L’affaire des couveuses au Koweït désigne le scandale du faux témoignage fait le 14 octobre 1990, lors de l'invasion du Koweït par les forces armées irakiennes de Saddam Hussein, qui alléguait des atrocités commises contre des nouveau-nés koweïtiens.Le témoignage se révéla être mensonger, après avoir servi à favoriser l'entrée en guerre des Occidentaux. Genèse du conflit. Donc, elle a été télévisée dès le début. hal-01571608. Après la guerre, la plupart des 300 000 Palestiniens vivant au Koweït, soupçonnés de soutien à l'Irak, sont expulsés[31]. Cette réduction drastique est due à la fois aux bombardements aériens et aux sanctions économiques appliquées ensuite par l'ONU (résolution du Conseil de sécurité des Nations unies no 661 ; la résolution 687 d'avril 1991 permettait l'envoi de denrées alimentaires et de fournitures médicales, mais pas des matériaux nécessaires à la reconstruction du réseau électrique et d'eau potable)[27]. En 2016, The Daily Beast donne un bilan de 25 000 à 65 000 soldats irakiens tués et 75 000 blessés[3]. La guerre civile libanaise touche à sa fin et l'URSS s'est retirée d'Afghanistan. Voir. Le témoignage se révèlera être mensonger et avoir servi à favoriser l'entrée en guerre des Occidentaux. En plaçant un monarque étranger à l'Irak, une sorte de "marionnette" qui devait tout aux Britanniques, ce qui signifiait pour les nationalistes et les Baasistes que le pays était quasiment un protectorat britannique jusqu'en 1958, avec le coup d'état militaire qui mit fin à cette monarchie. La guerre a pris fin avec l'annexion de Koweit tous ' Irak, non reconnu par 'ONU. La prononciation koweïtienne est [lɪkˈweːt]. Ils achetaient le bois au Pakistan ou en Perse, et fabriquaient des bateaux qui naviguaient dans tout le golfe arabo-persique. En […] Lire la suite Le 2 août, l'armée irakienne envahit le Koweït en quelques heures. Al-Kuwayt (/al ku'wajt/, prononciation littéraire) signifie en arabe classique « la petite forteresse construite près de la mer »3. Il y a 30 ans, l’invasion éclair du Koweït par l’Irak Le 2 août 1990, l'armée de Saddam Hussein déferle sur l'émirat et annexe ce petit territoire riche en pétrole. d'annexion du Kowert par l'Irak, le genocide des Tutsi au Rwanda, la guerre civile de Yougosla­ vie, !es attentats du 11 septembre 2001, ! Le général français Maurice Schmitt, Chef d'État-Major des armées, estime que moins de 5 000 civils irakiens ont été tués par les bombardements de la coalition[1]. Il y a 30 ans la première “Guerre du Golfe” 9 janvier 2021 AVANT-PROPOS : les articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » ne représentent pas les positions de notre tendance, mais sont publiés à titre d’information ou pour nourrir les débats d’actualités. Le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté 12 résolutions exigeant le retrait immédiat des forces irakiennes du Koweït, mais en vain[8]. En 1991, l’Irak de Saddam Hussein, au nom de revendications économiques et territoriales non abouties, envahit l’Émirat du Koweït. Elle se fit immédiatement connaître comme la « chaîne de la guerre ». La visibilité fut réduite de 25 à 4 km dans la région et il y eut une chute de la température jusqu'à −10 °C. Le nom est d'ailleurs morphologiquement un diminutif, sur le schème fuʿayl. Le colonel américain Kenneth Rizel estime à 3 000 le nombre de morts chez les civils[23]. La grande majorité des forces militaires de la coalition viennent alors des États-Unis, avec l'Arabie saoudite, le Royaume-Uni et l'Égypte comme principaux contributeurs, dans l'ordre. Elle est appelée Guerre du Golfe, en raison de sa situation géographique, sur les bords du golfe Persique. Après avoir envahi le Koweït, il en a été délogé par ses anciens amis. S/RES/660 (1990). Elle déclare à son interlocuteur que « Washington, inspiré par l'amitié et non par la confrontation, n'a pas d'opinion » sur le désaccord entre le Koweït et l'Irak, déclarant que « nous n'avons pas d'opinion sur les conflits arabo-arabes ». La dernière modification de cette page a été faite le 12 octobre 2020 à 18:07. Certains journalistes ont été choisis et ont eu l’autorisation d’aller dans un « press pool ». Saddam Hussein espérait ainsi donner l'occasion aux conservateurs communistes russes de reprendre la situation en main, face aux libéraux incarnés par Boris Eltsine, et sauver l'URSS, garante de nombreux pays du tiers-monde contre l'emprise de l'impérialisme Américain[réf. 1990-1991 : la guerre Irak-Koweït, guerre du Golfe. Les revenus de l’Irak dépendent à 90 % de l'or noir, que produit aussi le Koweït. Pour de nombreux Irakiens, le Koweït était un État artificiel, créé de toutes pièces par les Britanniques. Un article de la revue Études internationales (Volume 40, numéro 3, 2009, p. 359-488) diffusée par la plateforme Érudit. Adoptée par 12 voix contre 2 (Cuba, Yémen) et 1 abstention (la Chine), c'est la première résolution de l'ONU à autoriser le recours à la force depuis la guerre de Corée (1950)[16]. Et 149 victimes alliées. Pour le colonel Kenneth Rizel (2001[23]), l'application de la théorie des cinq cercles du colonel John A. Annex II of S/1999/356. Warden III durant la guerre, en ciblant les infrastructures matérielles et en préconisant l'usage de bombardements stratégiques couplés à des bombes guidées, aurait connu un succès indéniable, bien qu'elle fût moralement problématique.